Le GAFI surveille en permanence la manière dont les criminels et les terroristes collectent, utilisent et déplacent des fonds.  Alors que les pays mettent en place des mesures efficaces pour perturber les flux financiers illicites, les criminels doivent trouver d'autres moyens de blanchir leur argent sale. Le GAFI publie régulièrement des rapports qui sensibilisent aux dernières techniques de blanchiment d'argent, de financement du terrorisme et de financement de la prolifération, afin que les pays et le secteur privé puissent prendre les mesures nécessaires pour atténuer ces risques.

Les recommandations du GAFI garantissent une réponse mondiale coordonnée pour prévenir la criminalité organisée, la corruption et le terrorisme. Elles aident les autorités à s'attaquer à l'argent des criminels qui s'adonnent au trafic de drogues illicites, à la traite des êtres humains et à d'autres délits.  Le GAFI s'efforce également de mettre un terme au financement des armes de destruction massive. Le GAFI renforce en permanence ses normes mondiales pour faire face aux nouveaux risques, tels que la réglementation des actifs virtuels, qui se sont répandus avec la popularité croissante des crypto-monnaies.  

The FATF monitors countries to ensure they implement the FATF Standards fully and effectively.  In total, more than 200 countries and jurisdictions have committed to implement the FATF’s Standards and they are assessed with the help of nine FATF Associate Member organisations and other global partners, the IMF and World Bank.

Le GAFI demande des comptes aux pays qui ne respectent pas les normes du GAFI. Si un pays ne met pas en œuvre les normes du GAFI de manière répétée, il peut être désigné comme juridiction sous surveillance accrue ou juridiction à haut risque. Ces listes sont souvent appelées "listes grise et noire".